Né à Bab El Oued - 1948 - ALGER

 

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GONFARON

05/01/2013 21:09

CA Y EST

ON L A L EXPLICATION POUR LA PAILLE AU CUL POUR TOUTE L ANNÉE

En 1875, Luigi Schiafano, un marin génois, apprit que de nombreux navires de commerce partaient de Toulon vers l'Algérie.

Comme il était sans emploi, il décida de quitter sa ville natale pour tenter sa chance ailleurs en embarquant sur l'un de ces navires.

Il prit un baluchon contenant ses effets personnels, toute sa fortune, et se dirigea, à pieds, vers Toulon.

Après deux semaines de marche, il arriva à Gonfaron, petit village du centre Var, situé au pied du massif des Maures, connu dans le monde entier car, selon la légende locale, en 1645, un âne aurait volé du haut de la colline sur laquelle était bâtie le vieux village et aurait atterri au fond du ravin à la grande stupéfaction des habitants.

Cet exploit fut considéré comme un miracle que l'on attribua

à saint Quinis, protecteur des habitants de Gonfaron.

Depuis cette époque, aucun âne n'avait pu décoller du sol au grand désespoir du clergé local qui multipliait messes et incantations pour que le miracle de l'âne volant se reproduise de temps en temps afin d'attirer les touristes et surtout les pèlerins du monde entier. Las d'implorer saint Quinis, les Gonfaronnais décidèrent de prendre leur destin en main en organisant un challenge annuel offrant une somme très importante à qui ferait voler un âne sur la place du village.

Ce challenge avait lieu le dernier samedi du mois de juin et, hasard ou destinée, Luigi Schiafano était présent dans Gonfaron ce jour-là. Celui-ci se porta candidat et, après que le curé du village eut béni l'âne placé au centre de la place du village, il s'approcha lentement du quadrupède, lui souleva la queue et, d'un geste sûr, lui planta une paille dans le cul. Il invita ensuite les habitants de Gonfaron à souffler dans la paille afin de gonfler l'animal comme une baudruche.

Image supprimée par l'expéditeur.

Le premier souffleur fut le notaire : il inspira fortement puis lâcha dun seul coup son air dans le rectum de l'âne qui se mit à braire de plaisir mais qui ne bougea pas dune semelle. Le deuxième qui tenta sa chance fut le maire : il gonfla son torse et souffla dans la paille afin d'introduire tout l'air quil avait stocké. Mais sa tentative ne réussit qu'à faire sursauter l'animal, sans doute surpris par la tiédeur du mistral qui venait de s'engouffrer dans son arrière-train. Le troisième qui entra dans la compétition fut Luigi.

Celui-ci saisit la paille et, comme il était délicat, il la retira et la retourna pour éviter de poser ses lèvres au même endroit que ses prédécesseurs.

C'est alors que l'âne, ressentant que l'on venait de retourner la paille, crut qu'il devait inverser le sens du courant gazeux.

Il refoula alors vers l'extérieur tout l'air injecté par nos protagonistes, suivi par d'autres gaz dont l'odeur n'avait rien de commun avec les parfums de Provence.

Sous l'action de la poussée en avant créée par l'éjection des gaz, connue par les physiciens sous le nom de réaction, notre âne décolla du sol et retomba plus loin devant le regard médusé du jury.

Comme promis, Luigi Schiafano encaissa la prime et c'est en possession dune petite fortune qu'il arriva sur le port de Toulon où mouillaient trois navires appartenant au même armateur :

l'un en partance pour Alger, l'autre pour Oran et le troisième pour Bône.

Fin négociateur, notre Luigi réussit à convaincre l'armateur de lui vendre un de ses navires en payant comptant avec la somme gagnée à Gonfaron.

Et c'est ainsi que Luigi Schiafano devint propriétaire du navire de commerce en partance pour Bône. Quelques mois plus tard, les bénéfices récoltés lors des transports de marchandises entre Toulon et Bône étaient si conséquents qu'il put s'acheter un deuxième navire.

En moins de deux ans, Luigi fit l'acquisition dune véritable flottille et devint ainsi le plus riche armateur d'Algérie.

Quand il séjournait à Bône, il ne manquait jamais de raconter, en bas la marine, le fabuleux exploit de lâne volant qui avait été à lorigine de sa fortune.

Mais, comme chacun sait, le téléphone bônois, contrairement au téléphone acoustique, a la propriété d'amplifier voire de déformer les mots.

Aussi, le fait quun homme fût devenu riche en mettant une paille dans le cul d'un âne se transforma-t-il vite en rumeur attestant que la fortune souriait à ceux qui avaient une paille au cul.

C'est pourquoi, depuis cette époque, les Bônois utilisent une expression consacrée pour présenter leurs vœux aux personnes qu'ils estiment.

Cette expression, vous la connaissez sûrement puisqu'il s'agit de :*

bonne année,

bonne santé,

la paille au cul pour toute l'année.

Robert VOIRIN

Le : 01/01/2013 16:52

BONNE ANNEE 2013

Purée de nous qu'est ce que le temps il passe fissa,

on voudrait se les remonter en errière les années de là-bas

rien que pour retrouver notre jeunesse qu'elle était si belle,

et pour vous revoir vous les fidèles de Bab El Oued l'éternelle.

Mais voilà à force que d'y penser j'ai la cabessa qui va éclater,

alors tout doucement sans salamalec je viens vous retrouver

pour vous souhaiter une nouvelle année qu'elle soit la meilleure

en tachant moyen qu'elle vous apporte un grand couffin de bonheur.

Robert Voirin

Mustapha OUALIKENE

Le : 01/01/2013 15:11

A toute la communauté P.N encore une fois je vous présente tous mes vœux que la nouvelle Année 2013 vous comble de joie de santé et de bonheur que cette nouvelle Année nous apporte la paix qui nous manque dans ce monde. Ce matin je suis descendu en face de chez moi plus précisément à la pointe de la Piscine EL-Kettani sur ce rocher ou nous avons tous fait des prouesses de plongeons je parle de ce rocher à proximité des escalier en bois qui malheureusement n’existe plus, pour tous ceux qui se rappel, à cet endroit il y avait le mat ou les maîtres nageurs hissaient les couleurs « Vert, Orange et Rouge » sur cette plate forme en béton ou nous prenions aussi nos bains de soleil Nous nous exhibons aux plongeons. Même les filles étaient de la partie et je vous jure qu’elles étaient fortes nos filles de Bab El oued, des vraies kamikazes, la preuve il nous est arrivé de nous lancer des défies, pour voir s’il y avait des dégonflés parmi nous, l’épreuve était de taille, de la piscine nous devrions rejoindre à la nage la balise qui se trouve au large face à la piscine. Au top toute la bande se lançait à l’eau et laissez moi vous dire que les filles était les premières à se jeté à l’eau, Le retour se faisait aussi à la nage après un moment de repos sur la balise. Mais nous étions quand même très prudent il y avait toujours un copain sur une barque qui accompagnait la troupe au cas ou. Même en hivers par journée de soleil on se baigné et quand il faisait gris notre quartier général était le terrain de Volley mitoyen au restaurant ou bien les cours de tennis face à la porte d’entré principal Tous cela est révolu, il ne nous reste que de bons souvenirs. A tous je vous salut.

Robert VOIRIN

Le : 23/12/2012 14:52

A TOUS LES ENFANTS DE BAB EL OUED ET A L'OREE DE LA NOUVELLE ANNEE :

A vous bande de calamars boiteux,

Qu'est ce que je dirai pas pour vous rendre heureux,

Sinon vous donner une calbote amicale,

Que ça va sûrement pas vous faire mal,

A vous tous les fartasses, les guitches et les laouères,

Ceux qui allaient se taper le bain en bas la mer,

A tous les bouffeurs de cocas, mantecaos, zlabias,

Bliblis, roliettes, mounas, makrouds et calentitas,

A ceux qui dégustaient les brochettes à Fort de l'Eau,

A ceux qui tapaient cinq, à tous les falsos,

Aux buveurs d'anisette avec kémias,

A ceux qui faisaient sans arrêt l'avenue de la Bouzaréah,

A tous les falempos qui mentaient comme des voleurs,

A tous ceux qui ont fait le bras d'honneur,

Et ceux qui trichaient aux tchics tchics,

Ceux qui faisaient la chaîne au Majestic,

Ceux qui tiraient le fer au cassour, à tous les kilos,

A ceux qui, comme moi, tapaient cao,

Ou soit disant maqua hora,

Ceux qui jouaient aux tchalefs ou au tas,

Ceux qui ont fait, les pôvres, figa ou tchoufa,

A ceux, que quand ils partaient on aurait dit qu'ils revenaient,

Aux anciens de BAB EL OUED, d’El BIAR, de BEN AKNOUN,

A mes voisins de la rue MICHELET et de la rue d’ISLY

A tous ceux de notre ancien " paradis "

A tous ceux là,

En pensant à ceux que j'aimerais qu'ils soient toujours là,

Je souhaite que cette nouvelle année vous apporte le bonheur,

Et surtout que cette purée de santé elle vous laisse pas tomber.

Robert VOIRIN

Andrée ATLAN

Le : 21/12/2012 08:47

BONJOUR A TOUS

JE PARTAGE AVEC VOUS CE BEAU POEME RECU D'UN AMI CHER

Toi, mon ami

Qu'en dis-tu si pour Noël je fais un bel arbre dans mon coeur?

Et au lieu des cadeaux

J'accroche le nom de tous mes amis?

Les amis lointains et proches,

les vieux et les nouveaux,

Ceux que je vois chaque jour

Et ceux que je vois rarement.

Ceux dont je me souviens toujours,

Ceux qui parfois sont oubliés

Ceux constants et ceux intermittents,

Ceux des heures difficiles et ceux des heures gaies,

Ceux qui sans le vouloir m'ont fait souffrir ,

Ceux que je connais profondément ,

Ceux dont je ne connais que les apparences,

Ceux qui me doivent peu et ceux auxquels je dois beaucoup ,

Mes amis simples et mes amis importants,

Les noms de tous ceux qui sont déjà passés dans ma vie,

Un arbre avec des racines très profondes

Pour que leurs noms ne sortent jamais de mon coeur,

Un arbre aux branches très très grandes

Pour que les nouveaux noms venus du monde entier

Se joignent à ceux qui existent déjà.

Un arbre avec une ombre très agréable, afin que notre amitié

Soit un moment de repos pendant les luttes de la vie .

BONNE FETE DE NOEL A TOUS

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